Offrez-vous un tableau street art
Savez-vous que la cote des tableaux street art peut grimper considérablement ?
Les artistes street art confirmés ne sont sans doute plus accessibles à des moyens modestes, mais de nombreux jeunes artistes street art peuvent devenir les Jean-Michel Basquiat de demain.Leurs œuvres prendront peut-être une grande valeur.
Il s'agit aussi d'embellir un intérieur avec des œuvres artistiques.
Le visuel apporté par un tableau street art transforme une ambiance avec originalité.
On ne se lasse pas de le contempler et il pourra être le début d'une passion.
Il s'agit aussi d'embellir un intérieur avec des œuvres artistiques.
Le visuel apporté par un tableau street art transforme une ambiance avec originalité.
On ne se lasse pas de le contempler et il pourra être le début d'une passion.
Devenir amateur d'art commence souvent par l'acquisition ponctuelle d'une œuvre.
À force de l'apprécier et de l'admirer, le désir peut venir de lui ajouter un peu de compagnie et de varier les points de vue.
Un coup de cœur pour un artiste peut se produire et provoquer l'intention de se procurer d'autres pièces de sa production.
De là à devenir collectionneur, il n'y a qu'un pas, mais il n'est pas nécessaire de le franchir pour profiter de ce plaisir.
À quoi ressemblent les tableaux street art ?
Les thèmes sont abstraits ou figuratifs, ce sont des paysages urbains avec des scènes de rue, des animaux, des personnages stylisés et des portraits.
Ils font des allusions à des personnages de fiction, inventés ou empruntés au cinéma et aux films d'animation populaires.
Les clins d'œil sont nombreux et s'adressent à toute la population.
Des symboles et des noms typographiés ou calligraphiés suffisent à les personnaliser.
Une simple flèche rouge ou un logo peut remplir cet usage.
Ces personnages et ces sigles récurrents sont la signature d'un artiste et se reconnaissent immédiatement.
Ils sont sa griffe, sa communication principale, qui revient encore et encore.
Certains travaillent à partir de photos qu'ils transforment et réinterprètent.
Des politiques et des chefs d'État peuvent être utilisés pour souligner les dérives d'un gouvernement, des acteurs et des actrices sont détournés de leurs rôles pour faire passer des messages.
Les artistes ont hérité des recherches de l'art contemporain et les prolongent plus loin.
Les tableaux sont réalisés dans les techniques éprouvées, comme l'acrylique, l'aquarelle et l'huile, ou sous forme de graffitis et de montages composés.
Des œuvres sont imitées du trait à l'encre de Chine, des aplats du lavis ou de la peinture au couteau.
Composées de façon complexe, elles peuvent avoir un effet coup de poing surprenant.
On les trouve dans des galeries et dans des sites spécialisés en ligne.
Les graffitis sont apparus dans les années 1960 et 1970, à Philadelphie et à New York. Mai 1968 a vu les premiers affichages sauvages en France, qui exprimaient la rébellion de l'époque.
Pendant les années 1980, les rames du métro new-yorkais sont des supports appréciés.
Mais devant les poursuites des autorités, les artistes se dirigent vers les bas quartiers des villes pour y poursuivre leur art en y promouvant la culture hip-hop.
Les bombes aérosol de peintures destinées à la carrosserie permettent de réaliser des fresques brillamment colorées.
La reconnaissance de Jean-Michel Basquiat en tant qu'artiste établit le phénomène et le popularise.
L'Europe suit le mouvement et les grandes villes offrent de nombreux espaces aux graffeurs.
La répression qu'ils subissent ne fait qu'encourager les artistes à exprimer leurs idées contestataires ou philosophiques, en jouant sur l'humour ou sur des messages qui font réfléchir. Ils rivalisent de créativité et multiplient les approches et les modes d'expression.
Les galeries d'art commencent à s'y intéresser sérieusement.
La publicité récupère le procédé et des publications le consacrent dans des livres d'art.
Depuis, l'activité des artistes n'a cessé de s'enrichir et de se développer, dans une esthétique urbaine vivante et inventive.
Elles sont nombreuses et variées.
Depuis la simple gravure avec un canif d'une déclaration d'amour sur un coin de mur, jusqu'à l'enveloppement d'une statue ou d'un monument, en passant par une allégorie qui habille intégralement toute une paroi d'immeuble, la seule limite est l'imagination et le temps disponible.
Les affiches et les travaux au pochoir offrent une répétition du modèle qui peut être imprimé dans de nombreux endroits, occasionnant une sorte de quête pour les suivre et les identifier.
Des panoramas peints à la bombe de peinture décorent de longues palissades, des murs de clôture ou des wagons stationnés dans les gares.
Le détournement de panneaux de signalisation agit comme des clins d'œil.
L'architecture urbaine, des balustrades et des escaliers peuvent être intégrés dans le graffiti et participer activement à l'image.
Le trompe-l'œil est à l'origine de belles créations et de véritables chefs-d'œuvre.
Ils font des allusions à des personnages de fiction, inventés ou empruntés au cinéma et aux films d'animation populaires.
Les clins d'œil sont nombreux et s'adressent à toute la population.
Des symboles et des noms typographiés ou calligraphiés suffisent à les personnaliser.
Une simple flèche rouge ou un logo peut remplir cet usage.
Ces personnages et ces sigles récurrents sont la signature d'un artiste et se reconnaissent immédiatement.
Ils sont sa griffe, sa communication principale, qui revient encore et encore.
Certains travaillent à partir de photos qu'ils transforment et réinterprètent.
Des politiques et des chefs d'État peuvent être utilisés pour souligner les dérives d'un gouvernement, des acteurs et des actrices sont détournés de leurs rôles pour faire passer des messages.
Les artistes ont hérité des recherches de l'art contemporain et les prolongent plus loin.
Les tableaux sont réalisés dans les techniques éprouvées, comme l'acrylique, l'aquarelle et l'huile, ou sous forme de graffitis et de montages composés.
Des œuvres sont imitées du trait à l'encre de Chine, des aplats du lavis ou de la peinture au couteau.
Composées de façon complexe, elles peuvent avoir un effet coup de poing surprenant.
On les trouve dans des galeries et dans des sites spécialisés en ligne.
Qu'est-ce que le street art ?
Les origines
Les graffitis sont apparus dans les années 1960 et 1970, à Philadelphie et à New York. Mai 1968 a vu les premiers affichages sauvages en France, qui exprimaient la rébellion de l'époque.
Pendant les années 1980, les rames du métro new-yorkais sont des supports appréciés.
Mais devant les poursuites des autorités, les artistes se dirigent vers les bas quartiers des villes pour y poursuivre leur art en y promouvant la culture hip-hop.
Les bombes aérosol de peintures destinées à la carrosserie permettent de réaliser des fresques brillamment colorées.
La reconnaissance de Jean-Michel Basquiat en tant qu'artiste établit le phénomène et le popularise.
L'expansion
L'Europe suit le mouvement et les grandes villes offrent de nombreux espaces aux graffeurs.
La répression qu'ils subissent ne fait qu'encourager les artistes à exprimer leurs idées contestataires ou philosophiques, en jouant sur l'humour ou sur des messages qui font réfléchir. Ils rivalisent de créativité et multiplient les approches et les modes d'expression.
Les galeries d'art commencent à s'y intéresser sérieusement.
La publicité récupère le procédé et des publications le consacrent dans des livres d'art.
Depuis, l'activité des artistes n'a cessé de s'enrichir et de se développer, dans une esthétique urbaine vivante et inventive.
Quelles sont les techniques du street art ?
Elles sont nombreuses et variées.
Depuis la simple gravure avec un canif d'une déclaration d'amour sur un coin de mur, jusqu'à l'enveloppement d'une statue ou d'un monument, en passant par une allégorie qui habille intégralement toute une paroi d'immeuble, la seule limite est l'imagination et le temps disponible.
Les affiches et les travaux au pochoir offrent une répétition du modèle qui peut être imprimé dans de nombreux endroits, occasionnant une sorte de quête pour les suivre et les identifier.
Des panoramas peints à la bombe de peinture décorent de longues palissades, des murs de clôture ou des wagons stationnés dans les gares.
Le détournement de panneaux de signalisation agit comme des clins d'œil.
L'architecture urbaine, des balustrades et des escaliers peuvent être intégrés dans le graffiti et participer activement à l'image.
Le trompe-l'œil est à l'origine de belles créations et de véritables chefs-d'œuvre.