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Paint me i'm famous : hommage aux tableaux célèbres
- 15/04/2022Entre tradition et modernité
Que seraient les artistes d’aujourd’hui sans ceux d’hier ?
Ce mois-ci, Carré d’artistes veut mettre en valeur les liens qui unissent ses peintres et plasticiens à l’histoire de l’art. Citations et clins d’œil aux tableaux célèbres se multiplient dans cette collection d’œuvres qui clame son amour de l’art…
Car les musées ont plus que jamais besoin de revoir leurs visiteurs, il est important de mettre en valeur leurs précieuses collections ! Mais aussi de donner à voir le dynamisme des artistes d’aujourd’hui, dont les œuvres n’attendent que de trouver un nouveau refuge : chez vous.
Ce mois-ci, Carré d’artistes veut mettre en valeur les liens qui unissent ses peintres et plasticiens à l’histoire de l’art. Citations et clins d’œil aux tableaux célèbres se multiplient dans cette collection d’œuvres qui clame son amour de l’art…
Car les musées ont plus que jamais besoin de revoir leurs visiteurs, il est important de mettre en valeur leurs précieuses collections ! Mais aussi de donner à voir le dynamisme des artistes d’aujourd’hui, dont les œuvres n’attendent que de trouver un nouveau refuge : chez vous.
Une collection clin d’œil aux tableaux célèbres
Si vous aimez les tableaux classiques, vous adorerez le travail de Karine Romanelli, qui reprend à sa manière la Jeune fille à la perle de Vermeer pour en faire une demoiselle d’aujourd’hui, troublante de séduction avec son turban bleu ! Paxal, lui aussi, reprend de grandes toiles célèbres, mais avec un humour dévastateur : les paysans représentés par Millet au XIXème siècle se mettent à discuter, la Laitière de Vermeer râle un bon coup…
Nathalie Molla s’amuse quant à elle à dévergonder la Joconde de Léonard de Vinci, en la transformant en icône du street art ! Une toile qu’on imaginerait parfaitement dans la chambre d’un ado. Lional Valot s’inspire quant à lui de l’univers étrange de Salvador Dali et donne naissance à de très singuliers paysages…
Quant à Gérard Clisson, il s’amuse à reprendre les compositions géométriques de Mondrian en y apportant sa patte bien reconnaissable, les papiers déchirés. Et si Misako fait de la Vénus de Botticelli une pop star au décolleté pigeonnant, Medeya Lemdiya fait carrément s’endormir la Joconde ! Humour et joie de l’art sont donc au programme de cette collection, entre tradition picturale et modernité !
Nathalie Molla s’amuse quant à elle à dévergonder la Joconde de Léonard de Vinci, en la transformant en icône du street art ! Une toile qu’on imaginerait parfaitement dans la chambre d’un ado. Lional Valot s’inspire quant à lui de l’univers étrange de Salvador Dali et donne naissance à de très singuliers paysages…
Quant à Gérard Clisson, il s’amuse à reprendre les compositions géométriques de Mondrian en y apportant sa patte bien reconnaissable, les papiers déchirés. Et si Misako fait de la Vénus de Botticelli une pop star au décolleté pigeonnant, Medeya Lemdiya fait carrément s’endormir la Joconde ! Humour et joie de l’art sont donc au programme de cette collection, entre tradition picturale et modernité !
Le point histoire de l’art : Quelle est l’œuvre la plus détournée ?
Bien sûr, l’œuvre la plus détournée du monde est aussi la plus célèbre : il s’agit de la Joconde de Léonard de Vinci ! Et son détournement le plus emblématique est signé Marcel Duchamp, facétieux artiste du mouvement Dada : en 1930, il lui ajoute une moustache et lui accole une inscription polissone : « L.H.O.O.Q. »…