Reymond Pierre
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Peinture Paris le jour - ciel tourmenté par Reymond Pierre | Tableau Figuratif Paysages Urbain Huile
Description de l'œuvre
L’œuvre « Paris » représente la ville de manière métaphorique et non figurative. Elle choisit un point de vue surplombant afin de mettre en valeur les toits de la capitale dont les reliefs et arêtes vont ainsi créer un mouvement ondulatoire presque maritime accentué par la liquidité de la peinture. Le motif est peint au couteau et à l'huile et joue sur les oppositions entre les couleurs chaudes (nuances de rouge) et froides (nuances de bleus et de verts). Les proportions du tableau dont les deux tiers sont dominés par le ciel cherchent à accentuer la perspective et la majesté du motif. Le ciel, par ailleurs, reprend l’opposition entre teintes froides (gauche) et chaudes (droite), les deux masses se trouvant liées par les nuages filandreux et déchirés qui donnent de la profondeur à cet espace.
Informations
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Style : Figuratif
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Theme : Paysages
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Theme : Urbain
- - Dimension : 100 x 100 cm
- - Couleurs : Bleu
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Technique : Huile
- - Cadres compatibles : 100 x 100 cm
- - Encadrement possible : oui
- - Format : grand
- - Support : Toile
- - Type de montage : Monté sur chassis
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- - Exposé en galerie : Paris 6 l'Expo
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Reymond Pierre
France
Pierre Reymond cultive très tôt deux passions parallèles : la littérature et les arts graphiques. Ces deux inclinations ne le quitteront pas. Il dessine très tôt et passionné de BD imite Franquin, les héros du magazine Strange ou de Tex Avery. Il lit beaucoup, de tout, et écrit des nouvelles, des romans, des scénarios. Il peint dès l’adolescence, imitant Turner ou les impressionnistes. De sa deuxième passion, il fait son métier après un DEA de stylistique en enseignant pendant près de dix ans tout en continuant de dessiner que ce soit de manière traditionnelle ou infographique. En 1999 il quitte le monde de l’enseignement et fait une école d’infographie. Il travaille dans ce domaine durant cinq ans mais en 2004 la peinture le rattrape et très vite il quitte la ligne claire de la BD et adopte le couteau, pour sa valeur approximative, son effet d’abstraction. Il ne quitte plus ce domaine devenu primordial tout en continuant d’écrire.
